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En una ocasión -aproximadamente hace un año- hice mi "autobúsqueda" correspondiente, y me encontré con las referencias a las becas y adeudos universitarios que tengo. Nada de sorprenderse. Pero, siguiendo con la búsqueda, encontré mi nombre en una página en francés. Me llamó la atención, porque decía algo como --Y sí, somos tan famosos que tenemos visitas hasta de Cholula, Puebla. Le di clic, y entonces lo recordé. Hace algún tiempo, aproximadamente en las épocas de mi preparatoria, era un fan enfermo de Cortázar. Hoy me averguenza un poco -al grado de que lo he bloqueado de mi mente y de mis referencias, como cuando uno trabaja en la salchichonería o como cerillito en la comer-, pero es cierto. La historia es un poco turbia y la verdad es que no acabamos en muy buenos términos -para variar le exigí demasiado- pero ahora, con el tiempo, me doy cuenta de que a pesar de todo, me dejó buenas experiencias. Una de las mejores consistió en la introducción a la Patafísica. Gracias a algunos textos de la Vuelta al día y del último round, comencé a husmear en temas de Patafísica y en los proyectos Oulipianos, que tan poco son muy buena referencia pero que se pueden justificar como se justifica dar clases en una secundaria.
De lo primero -y lo mejor- que pude leer de la patafísica, fue un loco al que otros locos llaman "Le prince des penseurs", el príncipe de los pensadores. Jean Pierre Brisset. De manera general, el texto más representativo -y del cual tuve una copia que ahora no sé dónde está- se llama La Natation ou l'art de nager. Reproduzco el comienzo del texto, con la promesa de traducirlo muy pronto. Especial atención a las imágenes.
Además, y antes de poner el texto, recomiendo visitar la página oficial de los seguidores no oficiales, la misma en la que hace ya tanto firmé como visitante.
La Natation ou l'art de nager
La natation est l’art de se mouvoir dans l’eau.
Malgré tous les traités qui ont été publiés sur cet art, la natation n’est encore aujourd’hui que l’apanage du petit nombre. Cela tient à ce qu’on n’a pas su mettre à la portée de toutes les intelligences et de toutes les bourses des méthodes simples et claires, permettant d’apprendre, en peu de temps, sans fatigue et sans efforts.
Si ce petit traité peut devenir populaire, tout le monde saura bientôt nager, excepté ceux qu’un naturel indolent rend ennemis de tout mouvement. Il n’est pas besoin de gros volumes pour apprendre un art qui ne consiste qu’en quelques mouvements coordonnés.
Les plaisirs que donne la natation, les services qu’elle peut rendre ne sont mis en doute par personne.
Tout le monde a le plus grand désir de savoir nager, mais l’on croit volontiers que c’est difficile, ou qu’il faut apprendre de jeunesse.
Ce sont là deux erreurs. On peut apprendre facilement à tout âge.
D’autres prétendent qu’il suffit de n’avoir pas peur. Cela prouve que la majeure partie des nageurs nagent sans bien savoir comment.
Dire que la peur empêche l’homme de nager, c’est le prendre pour le plus timide des êtres vivants.
Le cheval, si facile à effrayer, et tant d’autres animaux redoutant l’eau, nagent lorsqu’on les force d’y entrer. Mais que l’homme le plus brave et le plus hardi, ignorant de la natation, soit mis dans un bassin d’eau de douze décimètres de profondeur, il pourra bien se débattre avec vigueur, se coucher dans l’eau et y disparaître un moment, mais il ne nagera pas. Un grand nombre de marins ne savent pas nager : est-ce la peur de l’eau qui les en empêche ?
Quant à ce que beaucoup d’enfants apprennent naturellement quand ils vont souvent se baigner, au lieu d’en déduire qu’on ne peut apprendre que de jeunesse, on devrait en conclure que ce ne doit pas être difficile. Jusqu’à présent, ceux qui ont écrit sur la natation devaient être des nageurs de jeunesse qui n’avaient pas été aux prises avec les mille difficultés qui se présentent à l’élève d’un âge mûr, ou qui, les ayant oubliées, ont écrit en nageurs pour des gens sachant déjà.
Ainsi, par exemple, pour faire la brasse, moyen général et le plus simple de nager, tous les traités indiquent comme point de départ les talons rapprochés, les coudes au corps. Or cette position est la meilleure que l’on puisse prendre pour aller au fond.
Quand l’élève est dans l’eau, s’il veut prendre cette position, il commence par placer
les bras, ensuite il rapproche les talons des fesses, mais à mesure qu’il les rapproche il s’enfonce ; il recommence, le même effet se reproduit. Alors il se décourage et renonce souvent à ce qu’il désirait tant.
http://pareiasaure.ifrance.com/brisset.html
1 comentario:
Hola! Es muy curioso... Patafísica. Por mi parte, es como encontrar un concepto (más aún, una corriente de pensamiento) que exprese, o trate de expresar al menos, lo que siempre me resultó inefable. Por mi parte, digo, es como vivir en una atmósfera de constante milagrosidad... Vas a traducir ese texto? O al menos contar resumidamente de que se trata ?
Saludos y desde ya muchas gracias!
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